24/09/2007
24/09/2007:
ADIEU
Parce que plus la chute est douloureuse et plus je me relève forte et décidée.. tu n'es qu'un vague souvenir.. un simple etre humain, regretté je sais mais bientot oublié. Une page sublime et magnifiquement douloureuse de ma vie. Un court instant de mon existence.
Tu vas disparaitre.
Tes notes s' essoufflent, les entends tu s'éloigner? Se fondre dans la douce mélodie de la vie, s'évaporer, loin de mes pensées.
Je goûte à l'amertume de nous
PARCE QUE JE T'AIME..mais plus pour longtemps..
Je tire un trait sur ce passé.
19/09/2007
19/09/2007: Il est la personne la plus fascinante que j'ai rencontrée.
Hostile, fermé, solitaire. Chaque main tendue vers lui percue comme une agression.
Des jours passés assise a coté de lui, si proche et pourtant si loin. Loin, dans son monde, peuplé de fées et d'êtres imaginaires, d'images capturées et du son d'un piano. Le monde d'un jeune garcon jadis apeuré maintenant devenu adulte. Il est la, devant moi le regard fuyant, absent, rêvant a je ne sais quoi. Mais pas à moi.
Ses mains rugueuses sont celles d'un artiste, ses doigts glissent sur les touches, pressent les cordes.. Son coeur s'emballe au son de la musique, plus intensément qu'au rythme de nos ébas. Son âme s'échappe et ce coeur fuyant s'ouvre a son tour, dévoile un être fascinant, attachant, passionnant.
Sa sensibilité éclot a travers les notes. Sa mélodie se charge d'émotion, s'emporte, hurle, me heurte. Je pleure.
Soudain le silence revient, halletant. Lui vient vers moi, souriant, m'enlace. Je suis heureuse. Je suis vivante.
Ca n'a duré qu'un instant.
18/09/2007
18/09/2007: Que tes rêves soient peuplés de féérie, que ta nuit soit douce, ton repos sans écueils, tu es si loin... prend soin de toi.
16/09/2007:
16/09/2007: je ne veux pas dormir, car rêver de toi est un réel cauchemard ..
Je ne suis qu'une idiote, et a ses yeux je ne suis rien.
15/09/2007
15/09/2007: fool me once shame on you, fool me twice, shame on me.
Il m'a brisée.
13/09/2007
13/09/2007: L'aiguille qui pénètre ma chair, la transperce, la blesse, éveille en moi une douleur singulière. Elle est la, lancinante, entêtante, s'insinuant sous ma peau, suivant inlassablement la main de l'artiste dans les méandres, les spirales, les courbes sans fin du tableau qu'il peint.. Ma peau se fait le support vivant d'une oeuvre intemporelle, magnifié par le plaisir intense que la piqure procure..